Sur ce point, nous serons INTRANSIGEANT!!! Le fair-play est sûrement la chose la plus importante dans un sport d'équipe comme le foot. Nous vous demandons donc de bien vous comporter que se soit contre d'autres équipes, à l'entraînement, au sein du groupe. L'agressivité et la tricherie n'apporte rien de bon! Pour nous, jouer au foot doit être un plaisir, on ne joue pas avant tout pour gagner, même si c'est un objectif, mais surtout parce qu'on aime ce sport. Personnellement, à mes yeux, je préfère perdre en étant fair-play que de gagner dans la tricherie!
Pour vous rappeler la définition de fair-play, je vous colle une définition Wikipédia donc, prenez-en bonne note s'il vous plait. Merci d'avance.
Pour vous rappeler la définition de fair-play, je vous colle une définition Wikipédia donc, prenez-en bonne note s'il vous plait. Merci d'avance.
Le fair-play (de l'anglais fair play) est une expression anglaise composée de fair « clair, franc, honnête, sans tricherie » et de play « jeu », désignant une conduite honnête dans un jeu, puis dans toutes circonstances. Utilisé couramment dans le monde du sport, ce terme recouvre à la fois le respect de l'adversaire, des règles, des décisions de l'arbitre, du public et de l'esprit du jeu, mais aussi la loyauté, la maitrise de soi et la dignité dans la victoire comme dans la défaite.
Le terme est employé par Montalembert dès 1856 en France. Il est depuis entré dans le langage courant dans de nombreuses langues et constitue une pièce essentielle des « valeurs du sport ». Le terme anglais pour désigner le fair play est Sportsmanship (sportivité) tandis que l'expression fair play désigne avant tout outre-Manche un joli coup, dans le sens bien joué. A l'origine, c'est une expression qui se rattache au vocabulaire du cricket par opposition à l'unfair play, qui consiste principalement en une faute du lanceur dont la balle est jugée dangereuse pour la sécurité de l'adversaire.
On notera la prédisposition des sports collectifs à vampiriser aujourd'hui ce thème. Toutefois, des attitudes que l'on qualifierait aujourd'hui de fair-play existent déjà dans le sport individuel des Grecs anciens. Et ces gestes, ces attitudes, furent souvent salués par le public et les poètes, comme ils le sont de nos jours par les téléspectateurs et les journalistes. Du respect du judoka au sourire d'un Roger Federer, modèle du flair-play contemporain, les sports individuels conjuguent encore au présent cette valeur tandis que certains sports collectifs tel le football, le handball ou le hockey sur glace, pour ne citer qu'eux, le fair-play s'efface clairement devant l'efficacité. On cherche toujours en vain l'époque idyllique au cours de laquelle le flair-play fut valeur cardinale ; Une telle période n'a jamais existé. Ainsi, en terme de violence, la tendance serait même plutôt à la baisse. On assiste souvent à des finales de coupe du monde ressemblant plus à un champ de bataille qu'à un stade de football, comme ce fut le cas en 1930 à Montevideo et on ne compte plus les agressions caractérisées visant à blesser gravement un joueur, comme cela fut le cas pour Pelé lors de la Coupe du monde de football de 1966, notamment. Zinedine Zidane restera pour certains comme l'auteur du coup de tête le plus médiatique de l'histoire, il demeure toutefois dans les mémoires de la majorité de ses contemporains comme l'antithèse de certains bouchers qui officièrent en défense de la fin du XIXe siècle à la fin des années 1970.
RESTONS FAIR-PLAY!!!