Pour le foot, le VTT peut être un excellent moyen de gagner en endurance, en puissance et en vivacité. Quelques heures de VTT pourrait être très bon pour l'organisme. Je vous conseil d'en faire un peu chaque semaine.
On peut même en faire en groupe si vous le souhaitez!
Le VTT et particulièrement le cross country est une discipline de la Fédération Belge de Cyclisme et de nombreux VTTistes se préparent sur la route comme les routiers. Quelques fois ces derniers s'entraînent en VTT pour tester le matériel et reconnaître des parcours. Or le Cross Country s'apparente plus au Marathon avec une gestion de l'effort plus individuel où on ne peut pas se cacher dans les roues. Au final le vttiste termine la course complètement épuisé. Les difficultés techniques du parcours engendrent également des traumatismes plus important des muscles posturaux (dos, épaule, bras), sans compter que parfois le vttiste descend du vélo pour franchir des obstacles. D'un point de vue musculaire, les fréquences de pédalages sont parfois beaucoup plus lentes dans les côtes très difficile ou le vttiste évolue dans les limites de l'équilibre.
Cette spécificité nécessite des adaptations dans l'entraînement. Les temps de récupération sont aussi plus long en ce qui concerne les compétitions. Le VTTiste doit adapter les techniques et méthodes d'entraînement issues de la route.
1 Différence énergétique
1.1 les filières énergétiques
Ce sont évidemment les mêmes que celles qu'on retrouve sur la route. L'endurance aérobie, la puissance aérobie, la notion de seuil sont aussi important en cyclisme sur route qu'en VTT. Toutefois, les temps d'effort passés autour du seuil et au dessus sont sensiblement plus important sur une épreuve de cross country de 2 heures qu'une course sur route de la même durée. Cela tient du fait que les routiers peuvent s'abriter dans le peloton et s'économiser un peu plus qu'en VTT ou les difficultés du terrain rendent difficile l'utilisation des abris. En VTT on ne gagne pas une course en restant dans les roues jusqu'au bout comme peuvent le faire les sprinteurs. Il faut s'employer du début jusqu'a la fin. Les durée des courses sont aussi plus courtes, ce qui fait que l'intensité moyenne est légèrement supérieure à celle des courses routières. Les notions de Puissance Maximale Aérobie et de temps limite à PMA sont un peu plus déterminants en VTT.
1.2 Les différences musculaires
En VTT contrairement à ce qu'on croit on ne développe pas plus la vélocité que sur route. Le fait que les braquets soient plus petits est une nécessité pour pouvoir gravir les obstacles et chemin caillouteux. Si on observe les vttistes dans les cotes on s'aperçois qu'ils fleurtent avec les limites de l'équilibre en utilisant une fréquence de pédalage pénible car plus lente et nécessitant plus de force que celle employée par les routiers, de plus lorsque la pente est élevée les vttistes restent assis sur la selle pour conserver de l'adhérence sur la roue arrière, cela s'accompagne d'une situation difficile pour produire son effort. Évidemment une fréquence plus basse s'accompagne d'une baisse de rendement, d'une fatigue plus importante qui limite la durée de l'effort. L'entraînement doit intégrer des exercices d'endurance de force, de force explosive.
1.3 Le sens de l'effort.
L'effort en VTT nécessite une concentration différente de celle des courses sur route. Il faut constamment lire le sol, repérer les obstacles, choisir la trajectoire la plus économique, la plus fiable. Cette concentration doit être maintenue malgré l'intensité de l'effort. Certains routiers sont déstabilisés lorsqu'ils découvrent le VTT. De la même manière que certains cyclistes éprouves des difficultés psychologiques dans les épreuves CLM, la pratique du VTT nécessite un sens de l'effort bien particulier.
2 Quels aménagements de l'entraînement
*
Intégrer plus de séances d'entraînement de type PMA, de Seuil.
*
Réduire les durées d'entraînement en endurance.
*
Réaliser des séances sur VTT et sur terrain de cross country.
*
Faire des exercices de renforcement des muscles posturaux (dos, épaule, bras).
*
Intégrer plus des séances d'Interval-training avec des fréquences de pédalages peu confortable (trop dure)
* Augmentez le délais de récupération après une course VTT.
On peut même en faire en groupe si vous le souhaitez!
Le VTT et particulièrement le cross country est une discipline de la Fédération Belge de Cyclisme et de nombreux VTTistes se préparent sur la route comme les routiers. Quelques fois ces derniers s'entraînent en VTT pour tester le matériel et reconnaître des parcours. Or le Cross Country s'apparente plus au Marathon avec une gestion de l'effort plus individuel où on ne peut pas se cacher dans les roues. Au final le vttiste termine la course complètement épuisé. Les difficultés techniques du parcours engendrent également des traumatismes plus important des muscles posturaux (dos, épaule, bras), sans compter que parfois le vttiste descend du vélo pour franchir des obstacles. D'un point de vue musculaire, les fréquences de pédalages sont parfois beaucoup plus lentes dans les côtes très difficile ou le vttiste évolue dans les limites de l'équilibre.
Cette spécificité nécessite des adaptations dans l'entraînement. Les temps de récupération sont aussi plus long en ce qui concerne les compétitions. Le VTTiste doit adapter les techniques et méthodes d'entraînement issues de la route.
1 Différence énergétique
1.1 les filières énergétiques
Ce sont évidemment les mêmes que celles qu'on retrouve sur la route. L'endurance aérobie, la puissance aérobie, la notion de seuil sont aussi important en cyclisme sur route qu'en VTT. Toutefois, les temps d'effort passés autour du seuil et au dessus sont sensiblement plus important sur une épreuve de cross country de 2 heures qu'une course sur route de la même durée. Cela tient du fait que les routiers peuvent s'abriter dans le peloton et s'économiser un peu plus qu'en VTT ou les difficultés du terrain rendent difficile l'utilisation des abris. En VTT on ne gagne pas une course en restant dans les roues jusqu'au bout comme peuvent le faire les sprinteurs. Il faut s'employer du début jusqu'a la fin. Les durée des courses sont aussi plus courtes, ce qui fait que l'intensité moyenne est légèrement supérieure à celle des courses routières. Les notions de Puissance Maximale Aérobie et de temps limite à PMA sont un peu plus déterminants en VTT.
1.2 Les différences musculaires
En VTT contrairement à ce qu'on croit on ne développe pas plus la vélocité que sur route. Le fait que les braquets soient plus petits est une nécessité pour pouvoir gravir les obstacles et chemin caillouteux. Si on observe les vttistes dans les cotes on s'aperçois qu'ils fleurtent avec les limites de l'équilibre en utilisant une fréquence de pédalage pénible car plus lente et nécessitant plus de force que celle employée par les routiers, de plus lorsque la pente est élevée les vttistes restent assis sur la selle pour conserver de l'adhérence sur la roue arrière, cela s'accompagne d'une situation difficile pour produire son effort. Évidemment une fréquence plus basse s'accompagne d'une baisse de rendement, d'une fatigue plus importante qui limite la durée de l'effort. L'entraînement doit intégrer des exercices d'endurance de force, de force explosive.
1.3 Le sens de l'effort.
L'effort en VTT nécessite une concentration différente de celle des courses sur route. Il faut constamment lire le sol, repérer les obstacles, choisir la trajectoire la plus économique, la plus fiable. Cette concentration doit être maintenue malgré l'intensité de l'effort. Certains routiers sont déstabilisés lorsqu'ils découvrent le VTT. De la même manière que certains cyclistes éprouves des difficultés psychologiques dans les épreuves CLM, la pratique du VTT nécessite un sens de l'effort bien particulier.
2 Quels aménagements de l'entraînement
*
Intégrer plus de séances d'entraînement de type PMA, de Seuil.
*
Réduire les durées d'entraînement en endurance.
*
Réaliser des séances sur VTT et sur terrain de cross country.
*
Faire des exercices de renforcement des muscles posturaux (dos, épaule, bras).
*
Intégrer plus des séances d'Interval-training avec des fréquences de pédalages peu confortable (trop dure)
* Augmentez le délais de récupération après une course VTT.